Didascalies fin de partie
TL.
La pluralité des cultures est-elle un obstacle pour l’unité humaine ? L’homme a toujours eu tendance a vouloir universaliser ses croyances et sa conception du monde, aucun y en est parvenu. Après plusieurs guerres et controverses on a réalisé, que en effet, la pluralité des cultures empêche d’établir des croyances et de habitudes universelles. La pluralité des cultures révèle les différentes habitudes acquises par la culture dans laquelle on soit né. Alors, pourrait on se demander, est ce que cette pluralité de cultures est elle un obstacle pour l’unité humaine ? L’unité humaine, signifierait ici, les traits communs qui pourraient définir l’humain, ceux qui font les humains s’identifier entre eux.
Si la pluralité de cultures est un obstacle pour l’unité humaine, alors ca voudrait dire que les acquis de la cultures son plus définitifs chez l’homme que ceux de la nature, et, dans cette mesure, on ne pourrait pas parler d’unité humaine, mais au contraire, d’une « pluralité humaine ». Mais si, par contre, la pluralité des cultures n’est pas un obstacle pour l’unité de l’homme , alors la « nature humaine » serait plus définitive pour l’homme, et les acquis culturels, seraient juste des aides pratiques pour s’adapter a l’environnement. L’homme serait donc capable d’identifier l’humain, même s’il appartient à une autre culture.
Dégageons d’abord des arguments qui puissent démontrer pourquoi, selon certaines personnes, la culture définit l’homme, et par conséquent celui-ci ne peut pas parler « d’unité humaine » avec quelqu’un d’une autre culture.
La culture, la plupart de temps, s’efforce de nous apprendre ce qu’il nous faut pour bien nous adapter à la société, elle nous inculque ce qu’on appelle le sens commun, et cela nous permet de bien nous définir comme des hommes. On pourrait penser, selon cela, que c’est le sens commun, ou pour aller plus loin, la raison ce qui nous différencie des animaux. On a tous bien écouté