Dès lors qu’une ville existe, elle n’a d’autre choix que d’évoluer. Changer, se transformer, se détruire. Depuis que les grandes villes existent, les critiques sont parfois très négative mais l’on peut constater que les hommes continuent de venir s’y installer, on constate même parfois que les citadins sont incapable de s’en aller.
Comment peut-on expliquer ce paradoxe entre la déception et la fascination que suscitent les villes ?
En quoi peuvent-elles déclencher tant de désillusions, de désenchantements et pourtant continuer de séduire et attirer ?

Les villes malgré leur lot de désavantages continuent de se peupler, les hommes y cherchent une vie meilleure, avec un logement et un emploi dans un endroit où ils seront sociabilisés. L’ouverture des grandes villes et de leurs expansions au réseau ferrés à considérablement contribué à la population grandissante des villes.
Les bâtiments toujours plus hauts permettent un grand nombre d’habitants en un minimum d’espace. Aussi, les monuments sont un faire-valoir pour les villes qui voient de nombreuses personnes s’installer de sorte à avoir une vue imprenable. On voit l’exemple avec la tour Eiffel à Paris qui suscite l’intérêt de nombreuses personnes qui cherchent un logement de sorte à avoir une vue sur cette dame de fer, mais finalement, on se rend compte avec un regard extérieur qu’après cette quête, la plupart des personnes passent devant tous les jours sans même la voir.

La grandeur des villes permet aussi de voir naître de nombreuses activités que l’homme ne trouve pas en des lieux plus campagnards. On constate que la vie nocturne est très présente dans les grandes villes ainsi, certaines personnes attirés par ces villes qui ne dorment jamais, s’y installent pour fuir le contraste des zones rurales ou la plupart des commerces et des lieux d’amusements sont ouverts seulement le week end. On pourra de nouveau citer Paris comme exemple qui a attiré énormément de monde avec ses cabarets, ses bars, ses