dissertation droit à l'ignorance
Le sujet traitant du droit à l'ignorance, il soulève différentes questions. La première étant de définir le droit, qui peut être légal ou moral.
On peut d'ores et déjà éliminer la question du droit légal puisque la loi ne peut punir, la seule ignorance punie par la loi est l'ignorance de celle-ci.
Il faut donc traiter de exclusivement du droit moral.
De plus, il existe plusieurs types d'ignorance : l'ignorance au sens de lacune intellectuelle ou bien l'ignorance au sens de l'indifférence ou du mépris de quelque chose. Ce double sens de l'ignorance pose la question de l'impact moral et politique de celle ci ainsi que celui de la connaissance. On en vient donc à ce demander si l'homme à un quelconque pouvoir sur le monde qui l'entoure, soulevant ainsi la question des responsabilités individuelles et collectives et enfin, elle soulève la question de l’existence d'un progrès politique ou moral de l'ensemble de l'humanité.
L'humain ne peut pas tout savoir, c'est le fondement même de l'apprentissage. Au cours de ça vie, un être humain acquière des connaissances, ensemble de faits théoriques, et des savoir, ensemble de faits vécus. Mais quoi qu'il arrive un homme est incapable de tout connaître et de tout savoir, une vie humaine est trop courte pour pouvoir tout vivre et tout apprendre. L’ignorance au sens de lacune intellectuelle est donc une fatalité de la nature humaine, que je définirait ici par l'ensemble des caractères inévitables des hommes. Cependant l'homme vie dans l'illusion qu'il en sait toujours plus que son prédécesseur ce qui peut être vrai dans une certaine mesure.
La connaissance du passer permet à l'homme de capter certains messages qui ne pouvait être capter par ces prédécesseurs. Je prendrait ici l'exemple de la barbarie nazi : Durant la guerre, personne ne se doutait de ce qu'il ce passait, c'est ce manque d'informations qui a empêcher les dirigeants alliés de faire quoi que ce soit