douleur
Elle repose sur l’observation et l’écoute :
- Elle est qualitative, elle permet à la personne de décrire la douleur.
- Elle est quantitative, elle permet à la personne de mesurer l’intensité de la douleur.
Les moyens d’évaluations sont à adapter selon que :
- La communication verbale est possible et l’évaluation repose sur l’écoute principalement.
- La communication verbale est impossible et il faudra rechercher le mode de communication le plus approprié : * Si la personne a toutes ses facultés intellectuelles, il faudra définir un code de communication gestuelle par dessin ou autre ; * Si la personne n’a pas toutes ses capacités intellectuelles, l’évaluation devient un travail d’équipe et principalement orienté sur l’observation des aspects suivants :Attitude de la personne douloureuse, Les modifications du comportement, Le faciès, Les plaintes et gémissements, Le retentissement sur la vie quotidienne de la personne soignée.
B. Les différentes échelles d’évaluation et leur utilisation auprès des : a/ nourrissons
Au cours d’une expérience douloureuse on constate que le nourrisson est totalement « démuni », car il ne dispose pas de moyen cognitifs, tels que la « mémorisation de l’expérience douloureuse précédente. Par ailleurs, on sait à présent que les pleures ne sont pas toujours signe de souffrance. Un enfant souffrant ne pleure pas forcement… On a donc 2 objectifs, observer les signes de la douleur et quantifié la douleur.
Observation : mimiques douloureuses (à l’instant même de la piqûre), le cri (tout au long du soin avec modulations différentes), la motricité spontanée, l’excitabilité spontanée, la crispation des doigts, l’apaisement (un enfant ayant ou ayant eu très mal est difficilement consolable cependant il est important de lui consacrer du tps), la succion (le fait de tété fait augmenter le seuil de tolérance), la sociabilité (regard), l’évaluation du sommeil (qualité quantité)
Quantifié la