La responsabilité délictuelle et quasi délictuelle. Défaut des média de représenter la responsabilité sous un seul angle, hypertrophie la responsabilité pénale. Nous ne prendrons que la responsabilité civile. Exemple actuel : le paquebot avec la responsabilité des personnes disparu, des personnes dont on est plutôt sur qu’elles sont morte mais sans avoir retrouvé les corps (différent de l’absent). Possibilité d’une responsabilité pénale pour le commandant du navire, homicide par imprudence, délit sanctionné par des peines de prison, mais il se trouve que ce délit entraine des décès et des victimes, ayant subi un préjudice et donc indirectement, leurs proches subissent a leur tour un préjudice d’affection, ou bien matériel, on peut alors demander réparation au commandant. Le droit de la responsabilité pour devenir efficace s’appuie sur le mécanisme de l’assurance, on peut s‘assurer de responsabilité : permet d’assurer contre la responsabilité que l’on peut mettre à notre charge. La première différence qu’il faut faire est la responsabilité pénale et la responsabilité civile. Le droit pénal vise à punir alors que la responsabilité civile vise à réparer les dommages subis par les victimes. Le dommage peut trouver sa source de deux éléments différents : du non-respect d’un contrat -> responsabilité civile contractuelle (différent de la responsabilité délictuelle) ou bien d’un fait quelconque, qu’on appelle délit civil ou quasi civil : soit une faute d’imprudence soit de fait (ex : accident de la circulation, si votre véhicule est impliqué dans un accident, on est responsable du dommage causé). Lorsque l’auteur du dommage est soit l’Etat soit une personne publique -> responsabilité administrative. Pour qu’il y est responsabilité civil il faut trois éléments : un fait générateur de responsabilité (on peut être responsable sans avoir commis la moindre faute, de fait) ; il faut aussi un dommage (réparable en droit) et un lien de causalité entre le dommage et le fait