Etude viva italia
Sous le terme de " snacking " (ou snacks) on considère généralement tout produit qui ne nécessite pas de consommation à table. Il peut être pris tout aussi bien en dehors des repas réguliers ou à leur place.
Entre le snacking " sauvage " et le snacking " intelligent " c'est tout un comportement alimentaire qui évolue et qu'il convient de ne pas négliger.
Les professionnels de la restauration l'ont bien compris, au vu de l'évolution du marché ces dernières années et les voilà en quête d'innovations pour apporter à ces produits la qualité gustative et nutritionnelle ainsi que le côté pratique que le consommateur en attend.
Le snacking est-il synonyme de " mal bouffe " et d'une mauvaise hygiène alimentaire ? La controverse existe et concerne autant les professionnels de la santé que l'industrie agroalimentaire et le consommateur.
Si, dans nos sociétés, le grignotage s'est développé en suivant l'évolution économique, la baisse des coûts, la diversité et l'offre alimentaires, il n'est toutefois pas une particularité du monde occidental. Dans l'état actuel des recherches, nul ne peut aujourd'hui affirmer qu'il existe un nombre parfait de prises alimentaires quotidiennes et que nos traditionnels 3 repas journaliers à la française correspondent à un idéal nutritif. Certains nutritionnistes préconisent même le grignotage pour une meilleure productivité tout au long de la journée. Il serait préférable de grignoter pour apaiser sa faim, plutôt que de " s'empiffrer " lors des repas. Cela faciliterait la digestion et le contrôle du poids.
En fin de compte, le seul conseil qu'il est possible de donner est de respecter le quota calorique journalier recommandé et la diversité des aliments consommés quels que soient le nombre de repas et de grignotages faits. Cette recommandation devient d'autant plus importante que le snack a détrôné le sacro-saint repas de midi entre collègues.
Quels sont les