Euthanasie
Nous avons choisi l’euthanasie comme propos, car c’est un sujet controversé dans le domaine de la santé. Ça touche tout le monde puisque ça peut arriver à n’importe qui de devoir prendre la décision d’y avoir recours ou non. Dans l’article du Journal de Montréal, écrit par Sarah-Maude Lefebvre le 29 septembre 2010, il est sous-entendu qu’elle ne devrait pas être légalisée, car il reste tant à faire dans le domaine des soins en fin de vie, comme le soutient la présidente de l’OIIQ (Ordre des infirmières et infirmiers du Québec). Ceci nous amène à nous demander : Devrait-on légaliser l’euthanasie au Québec ? Selon madame Lefebvre, il est trop tôt pour incorporer le suicide assisté dans le système de santé, puisqu’il faudrait faire place à l’amélioration dans les soins palliatifs.
Dans l’éditorial, on parle directement de la mort, puisque l’euthanasie est l’acte que le médecin pose pour abréger les souffrances d’un malade incurable. Un deuxième thème qui est exploité plus implicitement est la morale, car les spécialistes sont fixés sur l’idée qu’utiliser cette technique ne serait pas digne d’une bonne conduite, puisqu’en d’autres mots ce serait comme faire un meurtre.
Il n’y a pas d’objection parce que l’auteur défend majoritairement le côté négatif de cette pratique. Elle soutient son opinion à l’aide de plusieurs arguments comme le fait qu’il est nécessaire d’améliorer les soins palliatifs avant même de songer à légaliser l’euthanasie. Cette idée est portée sur un jugement de prescription, car on incite à poser une action dite plus morale, plutôt que de poser le second geste qui aurait plus d’impacts négatifs. D’autres raisons sont axées sur un jugement de valeur, comme le manque de qualité des soins et le fait de légaliser le suicide assisté qui empêcherait de plus développer les soins, car nous n’avons pas le droit d’enlever la vie d’une personne plutôt que de continuer les recherches.
Quand il n’y a plus rien à