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à ne pas franchir. Ce sont les policiers et les juges qui donnent aux adolescents délinquants les normes à respecter. Or ces normes juridiques qui sont censées représenter les mœurs évoluent constamment (assouplissement ou durcissement des lois). La régulation peut venir du législateur, « d’en haut », mais aussi « d’en bas » c’est-à-dire liée aux changements de mœurs constatés dans la société.

Si la socialisation de l’enfant ou du jeune dans sa famille n’a pas abouti à son accord avec les normes de la société, son intégration y sera plus difficile. L’individualisme croissant, l’éclatement des familles, les situations économiques comme le chômage de longue durée, le surendettement des ménages favorisent aussi la rupture du lien familial et les situations d’exclusion qui en découlent.

La cellule familiale devient plus fragile, éclate même mais cela n’implique pas forcément une absence de solidarité. Au contraire, les liens de parenté peuvent s’accroître, le réseau familial reste primordial mais avec moins de contraintes, moins de pression sociale. Les liens demeurent forts et la solidarité est plus souvent choisie.

C. L’école ne joue plus son rôle intégrateur

Chez les enfants de milieu favorisé, la culture transmise par la famille est en totale complémentarité avec la culture transmise par l’école. Il y a même un effet de synergie, les parents étant d’ailleurs partie prenante à l’école (présence dans les instances de représentation). Le discours entendu à l’école rejoint le discours familial, les valeurs étant les mêmes (valorisation du travail et de l’abstraction, rationalité en finalité).

Chez les enfants de milieu défavorisé, les normes et valeurs véhiculées par l’école sont parfois différentes de celles inculquées par la famille et l’enfant est confronté à un phénomène d’acculturation. Les parents méconnaissent le fonctionnement du système scolaire et ont des difficultés pour mettre en place une stratégie de réussite pour leurs enfants

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