Fopqdjpofj

1123 mots 5 pages
x;eropiozehrtfiiiiiiiiiiiiiiiiiiqs^hj

6 messages
Classe :Terminale
Sexe :Fille
Localisation:Boulogne sur mer, 62, France

Posté 10 décembre 2008 - 20:52

Merci beaucoup Jim37 pour ces lignes de plan, et pour avoir pris pitiè de moi (encore un sentiment dont j'ai pris conscience par le regard d'autrui - ou plutôt par ses écrits- !!! ^^) j'ai quelques idées mais encore faut-il les mettre en ordre et dans la bonne partie. I- (l.1-6) la honte, une relation intime avec soi-même.
La honte survient lorsque l'on est visible dans un aspect de soi que l'on juge très négatif. En effet, le hasard veut que nous nous trouvons parfois dans des situations confuses et embarrassantes ce qui fait naitre, quasi-instantanément, le sentiment de honte. Elle est composée d'une réaction d'humiliation devant le jugement de l'autre et d'un jugement négatif qui donne naissance à la culpabilité ; or cet aspect nous le reportons sur nous-même. La honte permet de constater que nous n'assumons pas ce qui nous fait honte ; nous ne prenons pas toujours l'entière responsabilité de nos actes. Or nous avons déjà honte de nos actes et, de plus, le sentiment de culpabilité, issu du fait que nous n'assumons pas nos actes, renforce d'autant plus ce sentiment de honte. Elle permet aussi d'identifier le jugement que nous portons nous-même sur le geste ; c'est justement ce jugement qui rend difficile de le fait de devoir l'assumer. Enfin, elle nous informe de l'importance des personnes devant lesquelles nous vivons cette honte. Ce sentiment de honte n'est pas réfléchi il est médiat et je n'en prend pas immédiatement conscience.Il existe plusieurs aspects de nous-même, or tout comme la pitié, ou la souffrance, la honte est un aspect de notre être et de notre âme. Ce sentiment de honte ne peut atteindre la conscience que par la réflexion. Ainsi Sartre explique que la réflexion de la honte lorsque l'on en prend conscience ne se fait que par un intermédiaire et il donne l'exemple

en relation

  • fcfchfcjcf
    1416 mots | 6 pages
  • Fqzefqzf
    444 mots | 2 pages
  • Fhiqzqeyhfc
    461 mots | 2 pages
  • fshbfdhbfdhje
    2118 mots | 9 pages
  • djttxyfjrfu
    476 mots | 2 pages
  • Fdfhfgghf
    547 mots | 3 pages
  • Commentaire de texte sur le paragraphe 6 de la faculté de juger, kant
    2065 mots | 9 pages
  • Explication du texte de sartre
    1059 mots | 5 pages
  • Qjefpm
    1791 mots | 8 pages
  • ergfpeiuaqfbdv
    867 mots | 4 pages
  • fffepägkrpg
    324 mots | 2 pages
  • bilan
    1059 mots | 5 pages
  • Nous est-il permis de juger autrui ?
    2145 mots | 9 pages
  • Fgjhkopoiug
    296 mots | 2 pages
  • Frfezfqdqdq
    439 mots | 2 pages