Frontières a ranchie
Angelica Garza, une américaine d’origine mexicaine, travaille depuis 10 ans dans les ressources humaines d’une multinational (L’USMed), œuvrant dans le domaine des produits médicaux. La maquiladora « des usines mexicaines à capital étranger installées dans les zones limitrophes des États-Unis pour profiter de lois favorables et d’une main-d’œuvre à bon marché » dont il est question est située à Tijuana. De plus, Angelica est responsable des ressources humaines d’une petite unité située du côté américain de la frontière. Ayant des relations quasi inexistante avec les cadres des ressources humaines des deux côtés de la frontière, Angelica n’a donc pas les ressources nécessaires pouvant la soutenir. De plus, ses collègues anglo-saxons ne s’intéresse pas à connaître leur collègues d’origine mexicaine, ce qui donne place à plusieurs tensions avec ceux-ci. En particulier deux mexicaines qui se montrent très méfiante, croyant qu’Angelica vole une partie de leur travail. Ces employeurs ont cru que ces origines lui serait fort utile pour régler les tensions. « Je suppose que tout le monde estimait que, venant d’une famille chicano, j’allais automatiquement savoir comment me fondre dans cette culture complètement différente de la mienne. » Mais Angelica faisait face à un « mur d’incompréhension » de part et d’autre, elle a donc assumer seule, le rôle d’implanter les méthodes américaine à une culture non familiarisée et non préparée. De plus, elle est exposée aux préjugés et stéréotypes dû au fait qu’elle est une femme dans un environnement constitué majoritairement d’hommes. Elle devait travailler en étroite collaboration avec le chef du service de la comptabilité qui s’acharne à trouver des erreurs dans ces calculs, alors que la seule différence était la méthode de calcul car le résultat était le même.
2. Identification du problème
Le cas « Des frontières à franchir » illustre principalement un problème de différence entre les deux cultures