Generations
IntroductionHYPERLINK "http://www.philocours.com/cours/cours-memoire.html" \l "_Toc469045802"
Bibliographie
I- le passé ne sert-il pas à rien, et la mémoire, qui nous fait nous interesser au passé, ne serait-elle pas le signe d'une maladie de l'humanité ?
A- Passé et mémoire
1) Le passé n'est-il pas ce qui n'est plus ?
2) La mémoire ramène le passé à l'existence
3) Valeur de la mémoire
B- Nietzsche et la maladie historique de l'humanité
Introduction
1) La mémoire, faculté superflue, luxe inutile
2) Critique de l'histoire (et de la culture en général) (chapitres 2 et 3)
3) Les symptômes de la maladie historique (chapitres 4 à 9)
4) L'éloge de l'oubli comme remède à cette maladie
Conclusion I
II- Des bons usages de l'histoire
A- L'utilité de l'histoire (le passé " vivant ")
1) Les leçons de l'histoire -Machiavel
2) L'histoire peut encore servir à la connaissance du genre humain
B- Mais n'est-ce que l'utilité qui fait que l'homme s'intéresse à son passé ? N'est-ce pas également un plaisir gratuit ?
1) Peut-on vraiment tirer des leçons de l'histoire ? - considérations sur le statut ontologique de l'histoire
2) L'utilité et la valeur
Conclusion II
III- ce qui fait que le passé est digne de nous intéresser c'est que sans rappel du passé, nous ne serions pas des personnes
A- Mémoire et identité personnelle
1) O. Sacks ou la description d'un homme " instantané " (...)
2) Locke, Essais sur l'entendement humain, II, XXVII : l'identité personnelle n'est rien sans la mémoire
Conclusion A
1) Il faut s'intéresser et rappeler le passé
2) Deux conséquences sur la nature de la mémoire
B- le temps, propre de l'homme
Conclusion
Introduction Cette question m'est venue à l'esprit lors du mouvement lycéen de l'année dernière (1998). En effet, bon nombre d'élèves déclaraient que les cours n'étaient pas intéressants parce que trop tournés vers le passé ; cela ne les intéressaient pas d'étudier les auteurs du passé, le latin, etc. Tout ça,