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Introduction
Nous avons vu que le maintien d’une glycémie stable à 1g/L est essentiel au bon fonctionnement du corps. Les phénotypes diabétiques sont la conséquence des dérèglements pathologiques du système de régulation de la glycémie.
Problèmes : Quels sont les symptômes de cette maladie ? Comment la soigner ?
I. Différentes formes de diabètes
Voir TP 3 : Les phénotypes diabétiques
Au niveau métabolique, le phénotype diabétique est défini par une hyperglycémie chronique (glycémie à jeun supérieure à 1,26 g.L-1).Il n’y a pas un diabète sucré mais des diabètes sucrés dont les causes sont différentes. Sur le plan clinique, on distingue deux phénotypes : le diabète de type 1 (10 à 20% des diabètes) et le diabète de type 2.
Au niveau cellulaire, le diabète de type 1 est caractérisé par la destruction totale des cellules β sécrétrices d’insuline. Il se développe surtout chez les sujets jeunes.
Le diabète de type 2 est caractérisé par une double pathologie, affectant les cellules cibles de l’insuline (insulinorésistance) et les cellules β (déficit de l’insulinosécrétion).
Problème : Quelles sont les origines de ces diabètes ?
II. La prédisposition génétique et les facteurs environnementaux
Il existe des diabètes monogéniques dans le type 2 seulement (5% des cas au plus).
Dans l’immense majorité des cas : 95% des types 2 et tous les types 1, ce sont des diabètes dits polygéniques : ce sont des associations complexes entre plusieurs gènes mutés qui sont responsables de la maladie. La mutation de l’un d’entre eux n’est pas suffisante pour déclencher ces pathologies (notion de gène de susceptibilité). Dans la plupart des cas, il ne suffit pas de posséder la combinaison génique pour être atteint de la maladie : il faut automatiquement y adjoindre l’effet de un ou plusieurs facteurs de l’environnement qui auront le rôle de facteur déclenchant.
Le génotype n’est pas le seul en