Hérédia, les conquérants
Introduction : écrivians d'un seul livre, jose maria de heredia qui fesait partis du groupe du parnasse contemporain et qui a hérité des théories « l'art pour l'art » publia en 1893 les trophées. Les conquérants est l'un des poèmes de ce recueil. Ce poème est un sonnet classique qui parle de l'histoire des conquistadores (expéditions maritimes pour ouvrir de nouvelles routes et découvrir de nouveaux pays fin XVème).
Plan :
problématique :
Une forme traditionnelle, une perfection formelle :
les conquérants est écrit sous la forme parfaite d 'un sonnet puisqu'il est composé de deux quatrains suivie de deux tercets, vers est composé de 12 syllabes donc c'est des alexandrins. Les rimes riches respecte également les règles du sonnet c'est a dire ( ABBA ABBA CCD EDE).
Dans ce sonnet nous pouvons trouver une progression spatial puisque on part du « carnier natal » au V1 puis « de palos de moguer » V3 qui est un port d'Andalousie où Christophe Colomb embarqua pour l'Amérique suivie de « Cipango » V6 donc qui fait référence au japon puisque c'est le nom donné a CC au japon, ensuite « monde occidental » V8 qui reste un mystère a se siécle puis « tropiques » V10 qui marque le voyage dans l’océan , tous ces lieux sont de plus en plus éloigné et décrive en quelque sorte le voyage des conquistadors qui se finira dans le fond des océans V14 qui est le point le plus loin, un certain point de non-retour. Pour parvenir a ces destinations les conquérants sont comparé a des oiseaux « un vol de gerfauts » V1 donc les conquérants prennent leur envole et quitte leurs terre, puis des « routiers » V3 et enfin V5 le verbe « conquérir » donc au début ils sont considéré comme des grand faucons de chasse puis de routier et enfin comme des conquérants. Et enfin nous pouvons retrouve une progression temporelle puisque V4 « partaient, ivres d'un rêve » donc on peu pensé qu'il partaient le matin puis dans la 3ème