Immigrantes
Immigrantes africaines
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Dans le canot vingt-trois étaient presque tous pêcheurs aucune femme. Ils sont partis depuis une plage couverte de déchets et ont tardé sept jours à parcourir deux mille kilomètres. Quand ils ont perdu d'une vue la terre Ismaël s'est levée en essayant de voir quelque chose de plus qu'une eau et il l'a effrayé de se sentir un enclos sans défense. Au cinquième jour l'eau s'est terminée. Certains ont commencé à pleurer et à pleurer une terre par aucune partie. Il a pensé qu'il avait été un idiot qui devrait avoir acheté un passeport et un billet d'avion comme ils faisaient tant. il a pensé que bon je vais mourir c'est tout. Il s'est endormi bouché par le soleil strident. Et alors j'écoute son père directement venu du village des défunts : "ne pleure pas tu ne vas pas mourir ". et au sixième jour la mer qui était verte jusqu'alors est devenue bleu foncé : ils étaient près d'une terre. Cette nuit l'éclat des villes est devenu visible dans le ciel et comme un phare les a aidé à s'approcher.
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Ils sont arrivés à un port et au policier et la Croix-Rouge ils attendaient déjà. Ils ont passé la nuit dans un commissariat entassé dans un local jeté au sol. Une femme est arrivée une avocate, celui que je leur explique à l'un par l'un en français qu'ils leur porteraient à un centre de rétention et qu'après quarante jours ils décideraient s'ils les rapatriaient ou ils les libéraient c'est Espagne. Il a dit qu'une permission de la Guinée Conakri parce que les deux pays n'avaient pas d'accord et ne serait pas possible un rapatriement. Il avait été remarqué au Sénégal : ne dis pas où tu es né.
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Ils sont arrivés au centre de rétention. Un matelas pneumatique une couverture savon une serviette. Une cour. Trois toilettes et trois douches pour deux cents personnes.
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Les jours passaient monotones et égaux au