Jacques le fataliste est un roman d’un genre nouveau de Denis Diderot, publié en 1796, près de 18 ans après le commencement de son écriture.
Diderot , est un des principaux rédacteur de l’Encyclopédie
Il est connut pour l’avoir dirigé durant 20 ans, mais il s’est aussi adonné au théâtre et à l’écriture de romans, notamment avec Jacques le fataliste. Il a peu de considération pour le roman ce qui peut expliquer qu’il se joue de ses règles et de ses conventions avec des dimension parfois parodique.
Diderot était aussi athé, dans son roman on peut voir que l’auteur partage ses idée en il démontrant que l’on a toujours le choix et q’uil n’y a pas forcement tout qui est écrit Ses personnages sont un tissage de héros tout droit sortis de son imagination et de rencontres avec des personnes réelles. C’est une œuvre qu’il veut ouverte avec une implication du lecteur.il y raconte les aventures et les discussions d’un valet et de son maître qui cheminent ensemble.
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Comment les choix de Diderot permettent-ils de désorienter le lecteur avec cet incipit particulier ?
Nous allons d’abord parler de l’incipit innovant, puis du couple de personnage mis en scène et enfin du pouvoir du narrateur
.Le rôle d’un incipit est d’apporter des informations sur les personnages, le lieu de l’action, la temporalité, l’intrigue, le ton général du récit, et d’accrocher ainsi le lecteur.
. Or, Diderot nous livre en préalable une série de questions auxquelles il n’apporte aucune réponse satisfaisante pour le lecteur.
.D’emblée nous ne savons pas qui sont les personnages, dénommés « ils » dans la première phrase de l’incipit, « d’où ils viennent, où ils vont, ce qu’ils font. »
.Au lieu d’intéresser le lecteur, le narrateur se moque de lui avec des réponses plates qui ne délivrent aucune information « par hasard » « du lieu le plus proche », il le bouscule « que vous importe », l’apostrophe « vous voyez lecteur », le fait patienter « et vous pour ce délai Il y a un refus de