Je ne sais pas
La loi du 4 mars 2004 a précisé à l’article 180 alinéa 1er du Code civil in fine que « l’exercice d’une contrainte sur les époux ou l’un d’eux, y compris par crainte révérencielle envers un ascendant, constitue un cas de nullité du mariage ».
° La violence.
Par violence il faut entendre violence physique: exemple d'un arrêt de la Cour d'Appel dAgent du 14 juin 1890 où le père avait battu la fille à coups de bâton pour qu'elle se marie. La loi du 11 juillet 1975 modifie l'article 180 qui dispose que s'il y a eu une erreur sur la personne ou sur la qualité essentiel de la personne, l'autre époux peut demander la nullité du mariage.
L'erreur dans la personne équivaut à une erreur sur l'identité physique de la personne soit sur l'identité civile. Un exemple: un homme épouse Catherine, or il épouse Nathalie, c'est le problème du voile au XIXe siècle. Il y eu substitution d'une personne sur une autre. L'erreur sur l'identité civile c'est en fait qu'on croit épouser un célibataire et après on découvre que c'est un divorcé à condition que l'erreur soit déterminante pour le consentement. Il tient en compte aussi l'erreur de la nationalité sur le conjoint. Cest le cas de laffaire Zoé Berthon
Le T.G.I. du Mans a admis par un jugement du 18 mars 1965 l'erreur sur l'état mental du conjoint. C'est une façon d'admettre que la santé mentale du conjoint est une qualité dans le