Explication du texte de Kant extrait des « fondements de la métaphysique des mœurs.

IntroductionAmorceThèse et thèmeProblèmePlan du texteDéveloppementPremière partieAnalyse de la notion de devoirExempleQu’est-ce qu’un devoir indirectMise en perspective de la thèse avec une thèse opposéeTransitionReformulation du problèmeRéférence qui permet d’approfondir la questionLa notion de plaisirRéférence à un autre texte de KantAnalyse de l’exempledernière partie ( analysée plus rapidement car elle reprend et conclue les analysesConclusionReprise rapide du résultat des analysesMise en perspective de la thèse kantienne| La recherche du bonheur pourrait sembler une quête bien solitaire, voire égoïste. Chacun, cherchant à sa manière et en se souciant peu des autres, le chemin d’une vie heureuse. Cet égoïsme n’est-il pas contraire à toute idée de morale et donc de devoir ?Ce n’est pas la thèse de Kant dans ce texte qui au contraire tente de montrer pourquoi chercher son propre bonheur peut être un devoir. Sur ce thème du rapport entre le devoir et le bonheur Kant affirme en effet que la morale exige de nous de tout faire pour être heureux. Mais cette thèse n’est pas sans poser un problème. En effet, pourquoi faire du bonheur un devoir alors qu’il semble bien que ce soit le but ultime de tous les hommes ? Il pourrait sembler superflu de faire du bonheur une exigence morale, d’ordonner « tu dois tout faire pour être heureux », mais en réalité, et c’est là le cœur de ce texte, les hommes préfèrent agir en vue d’une satisfaction à court terme, qui pourrait nuire à leur bonheur. Kant construit son argumentation en trois moments. Dans un premier temps, il expose sa thèse (du début du texte jusqu’à « …ses devoirs »), dans un second temps il va montrer qu’idée de faire du bonheur un devoir n’est paradoxale qu’en apparence (de « mais aussi… » jusqu’à, « …mais quand bien même ») dans un troisième temps il va reprendre sa thèse éclairée maintenant par les analyses de la seconde