Devoir de commerce international.

La Bancarisation internationale et les moyens de paiement mettent t’ils l’opérateur de commerce à l’abri des risques ?

Dans les relations commerciales internationales, il y a 3 parties importantes l’acheteur, le vendeur et le transporteur.
Chacune des parties a des objectifs à réaliser. Par exemple, le vendeur doit s’assurer de la sécurité du paiement, il devra donc trouver le moyen de paiement qui lui assurera de se faire payer.
D’autre part, l’acheteur a pour objectif de s’assurer que la marchandise est en bon état. Chaque opération de commerce international peut présenter des risques. Pour contrecarrer ces risques, il existe différents moyens mais qui ont eux même leurs limites.

I) Les différents risques auquel sont confrontés les opérateurs de commerce

Il existe un ordre de risque auquel sont confrontés les opérateurs de commerce.

A) Le risque pays
a) le régime politique

Il est important de savoir la nature du régime politique, car les risquent pour le commerce à l’international peuvent être importants. La nature du risque peut être la confiscation (transfert de propriété par le gouvernement sans offrir un dédommagement), la nationalisation (en 1936, lorsque le Front populaire était au pouvoir, il a procédé à la nationalisation d’usine d’armement et la SNCF (pour cause de guerre)). le choix des dirigeants, émeutes ou grèves (durant les JO 2008 en Chine, les relations tendues entre la Chine et la France ont crée des émeutes pour le groupe carrefour implanté). Comme on a pu le voir au niveau historique, le risque politique est constant. D’où l’existence de l’OCDE qui évalue le risque pays sur une échelle de 0 à 7 (risque le plus élevé), sur la base d'indicateurs quantitatifs et qualitatifs.

b) données géographiques

Les données géographiques peuvent impliquer des risques car le climat, le relief et les distances sont à l’origine de retards (les longues distances engendrent un plus fort risque), ou