La communication au sein d'une mairie
Non loin de là dans un petit village reculé une vieille femme se promenait seule en soirée, elle venait de retirer de l'argent dans un distributeur ; un jeune homme se trouvant dans une situation précaire était assis sur le banc se situant dans la même rue que la banque de cette veille dame ; il s'est questionné durant quelques minutes « A t-elle vraiment besoin de cet argent ? » ; « Cet argent changera t-il quelque chose dans sa vie ? » ; « Elle se fera surement pas rembourser, la pauvre ... » ; mais ce jeune homme finit quand même par agir, il agresse cette vieille femme et lui vole son argent. Ce geste fut qualifié d'immoral car le jeune homme savait ce qu'il faisait et a pensé aux conséquences que son acte allait entrainer, cependant il a agit.
La vie est-elle plus facile en agissant de façon immorale ? Le bonheur se trouve t-il tout simplement dans l'immoralité?
Pour répondre à cette question, il faut se demander si nous pouvons nous satisfaire ou être comblé d'avoir commis un geste immoral ou bien encore malhonnête pour arriver plus facilement à nos fins ou au but que l'on se fixait, ce sujet mérite réflexion c'est pourquoi nous allons nous y attarder.
Nous allons tout d'abord aborder l'opinion la plus commune et spontanée qui consisterait à dire que oui nous serons bel et bien plus heureux dans l'immoralité car on ne s'encombrerait pas de règles à devoir respecter, on se poserait moins de questions pour savoir si notre geste peut-être universalisé ou non.
Dans un second temps nous allons voir que nous ne sommes en fin de compte pas heureux dans l'immoralité car nous sommes en désaccord avec notre conscience lorsque nous commettons quelque chose d'immoral, de plus on est conscient des conséquences négatives, cela nous poussera plutôt vers le malheur que vers le bonheur.
Et pour finir dans une troisième partie nous verrons que le bonheur ne se trouve pas dans l'immoralité mais plutôt dans la vertu car être