La condition humaine
Première partie (21 mars)
La préparation de l’insurrection. Tchen poignarde un trafiquant d’armes et parvient ainsi à s’emparer de ses papiers qui permettront à Kyo et à Katow, ses compagnons, de s’emparer de la cargaison d’armes d’un bateau ancré dans le port. Pour réussir cette opération, les deux révolutionnaires vont bénéficier de la complicité du baron de Clappique. Les armes sont ensuite distribuées à l’ensemble des combattants clandestins cachés à travers la ville. Kyo mène l’inspection de combattants clandestins. Il s’aperçoit en écoutant un message enregistré , que sa propre voix lui parait étrangère. Cette première partie permet également de présenter les principaux protagonistes : Kyo et sa compagne May, Tchen et son maître à penser Gisors, qui est aussi le père de Kyo. Après son meurtre, Tchen vient se confier à Gisors : il se sent séparé du monde des hommes et avoue sa fascination pour « le sang ». Gisors est partagé entre la compréhension inquiète de ses « deux fils » et la fuite dans l’opium qui lui permet de se réconcilier avec lui même.
Deuxième partie (22 mars)
C’est le jour de l’insurrection. Les troupes du général Tchang Kaï-chek sont sur le point d'entrer à Shanghai. Ferral, le président de la chambre de commerce française , étudie avec les autorités locales chinoises les chances de succès de l’insurrection. Finalement il persuade les milieux d’affaires de soutenir Tchang Kaï-chek. Ferral va rejoindre ensuite Valérie, sa maîtresse. Celle-ci subit douloureusement la relation érotique humiliante qu’il lui impose.
Les combats sont très violents . L’insurrection est victorieuse, mais Tchang Kaï-chek s'oppose aux révolutionnaires et préfère pactiser avec les forces modérées: il exige des insurgés qu'ils rendent les armes. Les insurgés s’inquiètent de l’attitude attentiste du Kouo-Min-Tang . Kyo décide d‘en savoir plus et s’en va demander des explications à Han-k’eou.
Troisième partie (29 mars)