La curée de zola
Problématique : Comment Zola se révèle-t-il à la fois peintre des plaisirs d’une société et satyriste ? de : « cependant la fortune de Saccard » à « comme une embrassade énorme »Chap 3
I) La peinture des plaisir d’une société
1) le cadre : Paris qui vit une mutation des plus radicale. Il s’agit de réadapter Paris à sa fonction de capitale moderne. 2 allusions : l’allusion à la fortune de S. et à ses appétits lâchés et allusion à la ville : « quartier » , « toits » , « Les Tuilleries » . En même tps la ville est témoin de la fortune de S. « million » ; « billets de banque » ; « coffre-fort ». Description pas très cohérente , pas de logique visuelle et objective
2) La ligne de cohérence de la description et l’amplification permettent de stigmatiser un moment extrême = l’Apogée de la fortune de S. « grand » ; « colossale ».L’amplification se voit ds la multiplication des pluriel « appétits lâchés » ce qui souligne la prolifération du vice. Petit à petit les groupe de mots grandissent et les négation restrictives « ne que » ; « pas un » montrent un dépouillement de la ville d’un côté et de l’autre la fortune de S.
II) Il métamorphose Paris en une Femme vautrée dans la débauche
1) L’allégorie du vice : Paris est personnifiée à travers de nombreuse métaphores : « la ville est endormie » ; « une ville forte de sn or et de sa chair ». La personnification n’est liée qu’a l’esprit et au sommeil. Paris se voit doté d’un corps avc la personnification des tuillerie : « leurs bras qui s’allongent ds le noir ». Paris = une femme violée ou prostituée malgré elle. On est passé de Paris à la « ville » et la « cité ». Allusion à la seine qui charrie les déchets de la ville. On a ici des images violente. Images violente qui montre l’idée des terrains volés à la ville. On voit tt les viole auquels la ville est soumise. Paris à cette a été très boulversée.
2) les images sont ambigüe . Ces images montre une ville volontairement débauchée. Image du