La figure du chevalier

906 mots 4 pages
La figure du chevalier Les origines de la figure du chevalier, remontent entre les années 700 et 1000, quand ils ont été créés forces pour s'opposer à l'invasion des sarrasins, les vikings et les magyars. La noblesse du XIe siècle a adopté un entraînement qui dépendait des tactiques militaires pour exercer le combat à cheval, en plus d’assumer le fief et la vassalité propres du féodalisme. Ensuite, dans le XIIe siècle, le terme cavalier a été combiné avec celui de serviteur et le caractère du chevalier a acquis la combinaison des qualités aristocrates, vertus chrétiens et l’amour courtois. Le chevalier idéal devait être un homme courageux, loyal et généreux. Au sud de France, a surgi l'idée qu'un chevalier devait servir une dame (marié ou fiancé à une autre) à laquelle il aimerait passionnément et sans espoir. Il devait démontrer sa dévotion démesurée moyennant gestes héroïques et écrits amoureux, soumis anonymement à la femme qu’il aimait. Le développement de cette figure a été modifié à travers des années. L’amour courtois, comme produit du Moyen Âge, a établi des règles de comportement. Marie de France (XIIe siècle), a adjugé ces normes en plusieurs de ses écrits comme : Le Rossignol ; où elle applique le roman entre un chevalier et une femme mariée et le comportement idéal que un chevalier devait avoir vers son aimée . Par contre, cette poétise présente aussi un changement de rôle de genres dans Lanval. Dans ce lais le chevalier (Lanval) est sauvé par la dame de laquelle il est amoureux, ce que normalement doit être présenté à l’inverse . Il est précis éclaircir, que cet événement en particulaire ne représente pas le changement de rôle dans la totalité de l’œuvre, puisque cette lecture présente aussi d’autres éléments qui constituent une partie des règles de l’amour courtois . Un autre texte qui a ces caractéristiques est Aucassin et Nicolette (XIIIe siècle). Cette chantefable (combinaison de prose et vers) masculinise le comportement de la dame, et vice

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