La guerre d'algerie et le travail des historiens sur les memoires
La guerre d’Algérie, cette guerre de rébellion (1954-1962) qui opposa l’Algérie a la France, aboutissa a une Algérie libre et indépendante. Malgré l’accord d’Evian proclamé le 18 mars 1962, qui devait rétablir la paix, un conflit est encore présent entre les deux rives. Deux visions différentes des mémoires de ces guerres sont abordées. Cette guerre « sans nom » qui a été victime de politique d’oublis demande désormais à être ré analysé, pour le bonheur d’une future histoire officielle, commune entre les deux états. Un demi-siècle plus tard, le travail des historiens est donc plus que nécessaire pour rétablir l’ordre, à l’aide d’une vision neutre et égale entre les deux pays. L’historien est ici pour analyser correctement les faits du passé, et ainsi assurer une version plus que réel des faits. La fiabilité des sources est donc quelque chose de prioritaire dans le travail que devra fournir l’historien.
Les mémoires, des recueils d’anecdotes et d’évènements historique écrites de manière autobiographiques présentent depuis l’Antiquité un l’illustre l’exemple emblématique. Grace aux mémoires qui sont des sources historiques majeures des traces de l’histoire ont été gardé précieusement, tel que la Guerre des Gaules de Jules César, qui a été gardé à travers le passé seulement grâce à des « commentaires » qualifiés de « mémoires ». Celles-ci sont représentées de manières personnelles et subjectives, en fonction de leurs initiateurs, ce qui peut tromper certaine réalité. Car la réalité n’est pas la même chez tout le monde, comme les mémoires de sont pas les même chez chacun de nous. Le travail de l’historien fait donc l’œuvre d’une question primordiale dans ce devoir :
Selon la guerre d’Algérie, les historiens doivent-ils être indépendant ou pas des mémoires ?
Dans un premier temps, nous aborderons la complexité du travail de l’historien face aux mémoires