La jeunesse algérienne porte ses préoccupations au niveau des sociétés civiles
Engagée par le CNES, l’originalité de sa démarche, au-delà des imperfections, a suscité un vif intérêt à l’intérieur mais également à l’étranger, auprès des instances internationales. Donner la parole à tous les acteurs de la société civile et sortir avec des recommandations constructives. L’intérêt des acteurs à cette démarche participative
Les observateurs et présidents des conseils économiques et sociaux de l’Afrique mais aussi des grands acteurs économiques du monde y accordent un grand intérêt à cette démarche expérimentale éventuellement applicable aux autres pays du bassin méditerranéen.
Un évènement que Jean Paul Carteron, président du forum de Crans Montana, qualifiant ce genre d’initiative permettant de soulager la «fracturation générationnelle» engendrée entre ceux qui ont le droit de s’exprimer et ceux qui sont exclus d’une part, et entre l’économie et la réalité humaine, d’autre part.
Tout en approuvant cette manifestation, Antonio Marzano, président de l’AICESIS, appellera à l’organisation d’une assemblée sur la société civile de la Méditerranée. «Nous allons, comme première étape, organiser au mois d’octobre un colloque sur la société civile de la méditerranée», fait-il savoir, tandis que la représentante spéciale du président du comité économique et social européen, Laura Baeza affirme que cette manifestation, initiée par l’Algérie, reflète une convergence de vues avec la nouvelle stratégie de partenariat imaginée par l’Union Européenne. Parmi les présidents des conseils économiques et sociaux africains présents, citons notamment Michel Kamano, de la République de Guinée, Akere Muna, président de l’Ecosoc de l’union africaine, et Pr.Bernard Founou Tchuigoua, vice-président du forum social africain.