La marchandisation
Ces opposants rangent par exemple dans cette notion :
la privatisation des services publics, comme la distribution d'eau ou les transports collectifs, la privatisation des ressources naturelles, telles que les ressources en eau ou la biodiversité2 et les milieux naturels via les banques d'actifs naturels3. Cette privatisation est notamment combattue par l'association biens publics à l'échelle mondiale la disparition des couvertures sociales contre la maladie, au profit d'assurances maladie complémentaires gérées par des compagnies privées, à but lucratif, la marchandisation des produits culturels et artistiques4, dénonçant la concentration des grands groupes de médias sur l'industrie culturelle telles que l'industrie musicale et l'industrie du cinéma, la marchandisation du vivant, s'opposant aux brevets du vivant ou à la biopiraterie, par exemple avec les brevets sur les gènes. la marchandisation du corps, notamment celui de la femme, pour désigner deux réalités différentes : la prostitution, mais aussi l'exploitation commerciale de son image (notamment par la publicité la montrant souvent dénudée) la marchandisation de l'enseignement, notamment de l'Université, les institutions étant mises en concurrence entre elles pour attirer la clientèle (étudiante), l'éducation étant présentée comme un investissement individuel dont la validité dépend de sa rentabilité économique, les produits des recherches universitaires étant censés être des sources de financement (ou de profits) pour l'Université.
Ces adversaires s'en prennent notamment à l'OMC et aux accords de commerce internationaux comme l'AGCS, qui promeuvent une plus grande extension des domaines des marchés.
Phénomènes inverses
Le développement
des logiciels libres, du journalisme citoyen, des sites Internet à rédaction coopérative (wikis), des fondations et ONG humanitaires, le principe du système d'échange