La mort est l'état définitif d'un organisme biologique qui cesse de vivre. Chez les organismes vivants, elle se caractérise par un arrêt irréversible des fonctions vitales nécessaires au maintien de l'intégrité de l'organisme, ce qui la distingue d’un arrêt temporaire comme dans le cas de l'hibernation ou la congélation. la mort désigne l’arrêt des fonctions de base d’une cellule, mais une cellule est dite immortelle si elle peut donner un nombre illimité de cellules filles. Ainsi, les organismes unicellulaires qui se reproduisent uniquement par bipartition sont en principe immortels. Chez les organismes pluricellulaires, les cellules sexuelles, dites germinales, sont potentiellement immortelles, contrairement aux cellules de leur enveloppe somatique qui finissent irrémédiablement par mourir sous l'influence des facteurs pathogènes extérieurs, ou à cause du phénomène de vieillissement. L'enveloppe somatique forme alors ce qu'on appelle un cadavre, qui se décompose ensuite sous l’action de l'oxydation, des bactéries et de divers organismes nécrophages et détritivores, contribuant au recyclage de la matière organique et minérale. la mort peut être vue comme la fin de la vie par opposition à la naissance, ou comme l’absence de vie. Dans le premier cas, le fait que le cœur puisse arrêter de battre pendant un moment avant d’être réanimé pose la question de la limite, ou de la transition entre vie et mort. La mort est le moment où le corps commence à se décomposer. Médicalement, certains états mènent irrémédiablement à la mort, alors même que des cellules du corps continuent à vivre. C’est le cas de la mort cérébrale. Cependant, une minorité de personnes subissant une mort cérébrale n'en sont pas mortes. On considère qu'elles étaient en expérience de mort imminente. La mort cérébrale désigne l’arrêt des signaux électro-encéphalographies du cerveau humain. C’est d’après ce critère que l’on constate le décès d’une personne en médecine légale. La mort biologique résulte de