La peau de chagrin
Fin octobre 1831, un jeune parisien blasé entre dans un établissement de jeu du Palais-Royal. Il décide de jouer (en lançant une pièce sur le tapis vert) et perd. Il décide de se suicider au pont Royal mais il préfèrera attendre la nuit pour préserver son anonymat. En passant devant une boutique sur le quai Voltaire, le propriétaire remarque qu’il est littéralement blasé, il décide donc de lui offrir un talisman (en peau d’âne nommé peau de chagrin) mais celui-ci est spéciale car il est « maudit » :
-quand il appartient à une personne, elle ne peut s’en débarrasser
-quand cette personne fait un vœu, la peau rétrécie et raccourci la vie de cette personne
-quand la peau disparaît, la personne décède immédiatement
Alors quand le propriétaire (un antiquaire) lui a parlé de ce talisman et de toutes les personnes qui ne l’ont pas accepté, le jeune inconnu décide d’accepter la « Peau de chagrin », mais avant de partir, l’antiquaire décide de lui parler de trois mots de la vie : VOULOIR-POUVOIR-RECEVOIR. Il rajoute aussi que : « VOULOIR nous brûle et POUVOIR nous détruit ; mais SAVOIR laisse notre faible organisation dans un perpétuel état de calme. Or cette Peau de chagrin représente VOULOIR et POUVOIR réunis ». Le jeune inconnu sorti du magasin et fit le vœu de participer à un banquet orgiaque. Sur le chemin, il rencontre des copains qui sont journalistes et qui vont au banquet orgiaque et invitent le jeune inconnu. Son vœu se réalise normalement. Avec son ami Emile, il rencontre deux filles qu’il défini par une phrase « l’une est l’âme du vice et l’autre le vice sans âme