La sociologie
Le fonctionnalisme s’intéresse à la famille, aux signes vitaux de la société, à l’intégration pour ne citer que ceux-là. Certes, il s’intéresse aussi aux familles qui ne peuvent pas avoir d’enfants ou des couples fertiles. Ils ont recours à la procréation assistée. On remarque cependant au Québec que c’est une démarche difficile, car le prix pour avoir un enfant est exorbitant, surtout si le donneur est non anonyme. En effet, seuls les dons anonymes de sperme sont gratuits. Et une fois né, l’enfant se retrouve en confrontation avec ses antécédents et ses parents actuels. Ce qui leur nuit plus tard une fois grandit. Prenons le cas d’un bébé qui a besoin d’une greffe de coeur et que ce sont ses parents biologiques qui doivent laider. Compliqué! De plus, Olivia Pratten, dans le journal, La Presse, parue le 8 avril dernier, page A2, affirme qu’elle a du mal à parler de ses ancêtres quand elle va chez le dentiste. Ce qui montre bien un vide en ces personnes. Qui n’aime pas savoir d’ou il vient?
Le marxisme vise à parler de son côté des problèmes d’inégalités sociaux et des luttes entre les classe sociaux. Ce qui est très présent dans notre société actuel. Dans le journal, Le Devoir, paru le 28 avril 2011, page A4, Madame Depelteau dit : << Le programme aurait coûté moins cher si les services avaient été offerts par le secteur public, car notamment nous n’aurions pas eu à financer la marge de profit du secteur privé. >> Ici, on remarque encore le contexte du << les riches s’enrichissent et les pauvres s’appauvrissent. >>
L’interactionnisme s’occupe de la culture, de l’intégration sociale et les interactions entre nations. En effet, dans La Presse, le 8 avril 2011, page A2, la directrice du Centre de medicine, d’éthique et de droit de l’Universite McGill, Margareth Sommerville, croit elle aussi que