La ville et le commerce
Dissertation
La ville est-elle fille du commerce ?
« Dieu a fait la campagne, l’homme a fait la ville » William Cowper. La ville est une construction de l’homme, seulement comment peut on expliquer les amas d’habitation qui ont fleurit à certains endroits. L’historien Henri Pirenne a travaillé sur ce sujet et en a sortit un concept : « la ville est fille du commerce ». Soit un lien unissant ces deux phénomènes. A travers ces œuvres, cet historien nous amène l’idée que les migrations de populations notamment du sud de l’Europe vers le nord, ce sont produit en raison du développement commercial en cette région de l’Europe. La migration des populations suivraient donc la mutation économique des régions. Là où le commerce s’exprime, les hommes y sont attirés. La ville est une unité urbaine dont ses limites se définissent par l’habitat. Ses enjeux sont sociaux de part sa mission de cohésion dont on lui a confié. Mais aussi économique par le commerce et le développement de l’emplois. L’utilisation du mot Fille invoque un lien de parenté et une hérédité, soit une responsabilité des parents de sa naissance. Ce mot inclut également pour les parents des responsabilités économique et sociale envers ce membre de la famille. Mais aussi de fortes ressemblances et un lien très fort entre parents/fille. Dans le cas présent on insinue que la ville découlerait du commerce. Le commerce est une action insinuant des échanges entre deux ou plusieurs individus ou abstractions. Ce mot a avant tout une connotation économique dont souvent ses objectifs se résument à la recherche du profit. Mais elle peut être source de « bénéfice social » du fait que le commerce crée de l’emplois et aide à l’intégration de l’individus dans la société et dans les villes. Ainsi, peut-on dire que les mouvements des hommes à travers l’espace Européen est en lien avec le commerce qui s’y produit ? Peut-on vraiment qualifier la ville de « fille » étant donné l’ambigüité du mot