Mémoire de Maîtrise UniversitaireLa mobilite sociale descendante : l’emploi un facteur impactant sur l’attitude de la société envers les groupes minoritairesPSYCHOLOGIE ORIENTATION A DEFINIRPSYCHOLOGIE SOCIALEPARMadame Anastasia DYACHEVSKAYAAnastasia.dyachevskaya@etu.unige.chDirection du mémoire : xxxxxxxxxJury : xxxxxxGénèle, le xx mars 2022xxx motsUniversité de GénèveFaculté de Psychologie et des Sciences de l’EducationSection de Psychologie « Je …afficher plus de contenu…

Les individus ont ainsi plus de chance d’évoluer d’un milieu social à l’autre, notamment par l’augmentation des possibilités d’emploi. Ainsi, les caractéristiques liées à la naissance comme le milieu social ou encore le sexe ne sont plus déterminants par l’appartenance à un groupe. Par ailleurs, les chances de mobilité sociale inter-générationnelle, c’est-à-dire le fait de pouvoir changer de milieu social par rapport à ses parents devraient donc augmenter. En France, la corrélation entre le niveau de l’emploi d’une personne et de son niveau d’étude étant forte, l’éducation est perçue comme étant l’un des meilleurs garants de la mobilité sociale. En …afficher plus de contenu…

La connaissance des stéréotypes et des préjugés ainsi que leurs compositions, c’est-à-dire leurs mesures, est donc une étape essentielle à leur étude. Or, nos recherches nous ont fait comprendre que beaucoup de stéréotypes et de préjugés associés à certains groupes sociaux ont été négligés dans la psychologie : c’est le cas de ceux associés aux chômeurs ou demandeurs d’emplois, qui est une population pourtant grandissante et qui souffrent particulièrement de l’image qui leur est associée (Bourguignon & Herman, 2005). L’objectif de cette partie sera alors de présenter les jugements associés aux chômeurs, qui semblent-ils avoir une connotation négative. Bien que les personnes au chômage, ou demandeurs d'emploi, constituent clairement un groupe stéréotypé et avec des préjugés négatifs, nous constatons que très peu de chercheurs ont essayé