La production d’une protéine recombinante dans une cellule d’insecte
Chapitre 3 : Production d’une protéine recombinante dans une cellule d’insecte
Cellules d’insectes :
Poussent à température ambiante, on a un système d’expression viral qui existe déjà, et qui est facile à utiliser à détourner pour la production d’une protéine.
Toujours le même schéma d’étapes.
Basé sur les cellules d’insectes et virus d’insectes. C’est hétérologue à ce qui e passe chez l’homme : donc c’est sécurisé et facile d’utilisation. Hétérologue car on peut recevoir des virus …afficher plus de contenu…
On fait une réaction LR clonase : capable de faire recombiner gènes. Le baculovirus dans un BAC possède la cassette de résistance à la néomycine (on met de la kanamycine : gène de résistance à la néomycine), et comme on a disparition du lac Z, les clones seront blancs. Quand on transforme la bactérie, c’est avec l’ensemble …afficher plus de contenu…
On produit une grande quantité de plasmides dans la bactérie, on digère le plasmide avec une enzyme, on fait la recombinaison avec le plasmide d’entrée. Puis on transfecte dans les cellules d’insecte (avec sélectionner sur G418)
Pour contre sélectionner, on rajoute une ganciclovir : dans le plasmide, on a un gène Tk (thimidine kinase) qui provient du virus de l’herpès, capable de transformer le ganciclovir en une molécule toxique pour les eucaryotes.
Entre les sites attR1 et attR2 va être remplacé par le gène d’intérêt donc le gène Tk va disparaitre du produit final, donc si ce plasmide avec tk n’a pas recombiné, il contient encore la cassette Tk donc les cellules qui