Depuis bien longtemps avant Jésus-Christ, cet état d’âme est couramment sujet de débat. En effet, le bonheur est un état propre à chacun et donc nous l’interprétons tous différemment. Plusieurs philosophes ont étudié le bonheur et vous proposent leur version. Il y a eu l’école des Cyrénaïque qui eux prône le bonheur est une accumulation de plaisirs particuliers et que le plaisir est bon en soi. D’un autre côté, les épicuriens eux, voyais le bonheur comme un état de sérénité atteignable par la satisfaction modérée de nos désirs. C’est ainsi que nous en venons à la question suivante : faut-il limiter nos désirs ou les augmenter pour vivre une vie heureuse?
Dans ce texte, nous vous démonterons qu’il faut avoir des désirs réalistes afin de vivre une vie heureuse, qui se défini par le fait d’avoir plus de plaisirs que de souffrance et qui s’explique par une accumulation de plaisirs particuliers, donc des désirs.
D’abord, les désirs sont des buts, des objectifs dans la vie, voire même des pulsions. Ils sont une grande source de motivation qui mène à une vie heureuse. Le bonheur se vit autant que lorsque nous rêvons, par exemple à un être très cher que nous aimons ou encore à un bien de consommation que nous désirons très fort. Il se vit également, voir même encore plus, lorsque nous obtenons ce que nous désirons, par exemple le cœur d’une fille dont vous rêviez ou bien la voiture de luxe que vous avez toujours voulu. Sur ce point, j’ajoute même que de ne pas avoir de désirs c’est ennuyeux, donc mal puisque cela ne nous mènera jamais à une vie heureuse. Par contre, désirer n’est-il pas se rendre esclave de nos désirs et est-il dangereux d’avoir des désirs non comblés? Oui, mais comme j’ai mentionné plus haut, nos désirs doivent être réalistes et nous devons connaitre notre potentiel avant d’espérer quelque chose. Par exemple, il sera presque irréalisable, pour quelqu’un qui a espéré toute sa vie de devenir célèbre, à l’âge de 40 de le devenir.
Pour continuer, il faut