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Le Bras coupé

651 mots 3 pages
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Le Bras coupé
Travail présenté à
Dahlia KerbaPar
Imtiaz HossainDans le cadre du cours 601-101
LA LITTÉRATURE QUÉBÉCOISE DES ORIGINES À 1980
Numéro du groupe
Collège de Maisonneuve
Le 20 octobre 2015
Dans nos livres d’histoires, avons appris que les amérindiens étaient des gens qui mettaient beaucoup d’accents sur les valeurs et les traditions. Après les colonisations française et anglaise, beaucoup de ces valeurs ont été perdues. Dans le livre Le Bras coupé de Bernard Assiniwi, qui a été publié en 1976, l’auteur nous raconte l’histoire de Minji-mendam un des derniers Algonquiens qui vit encore par les traditions de son peuple qui se faisait assimilé. L’analyse qui suit a comme sujet Minji-mendam. Dans l’extrait de la page quatre-vingt-dix-neuf à cent, l’auteur presente le personnage comme etant quelqu’un, dans un premier temps, envahis par une grande douleure psychologique et aussi, un être très patient essayant d’exécuter ses plans de vengeances.
Tout d’abord, dans ce court extrait il est possible de caractériser Menji-mendam comme quelqu’un qui souffre beaucoup. Menji est entre autre hantée par son désir de vengeance. Ce dernier s’est fait attaquer par des anglais, les cinq boss, car il faisait preuve d’audace. Depuis ce jour une haine pour ces hommes gruge ses pensées. Cependant l’intensité de sa douleur est surtout perceptible quand le personnage repense à sa vie antérieure, comme si le mal était surtout ressenti en l’absence du bien. C’est lorsqu’il repense à sa femme que « la douleur mourut dans l’âme de celui qui avait mal ». Ce pléonasme illustre bien
Aussi, il est possible de croire que lidee de la vengeance est suffocante pour Minji-mendam. En effet, losqu’il repense a sa femme defunte, et que pour un instant il oublie sa douleure « la joie de ne plus haiir envahit son esprit ». L’antithese present dans cet extrait laisse a prejajer que le fait de ne plus ressentir le desir de vengeance soulage son esprit.
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