Le catharisme
Tout d’abord, il ne faut pas oublier que le catharisme est associé avec la révolte générale qui sévissait dans toutes les provinces du Midi. Des plus, ces rebellions dans le Sud de la France avaient un caractère religieux et politique à la fois.
Les régions de l'Europe du Sud baignes près de la Méditerranée n'avaient pas gardé la foi catholique romaine. D’après L’église, Le midi de la France avait donc suivis de "fausses doctrines".
Pour l’église, le catharisme n’est pas bon car il engendre deux principes : un dieu bon et un dieu mauvais : Le diable (qui aurait crée les corps) et le Dieu, qui aurait crée les âmes. Et qu’il a renié le baptême, la prière, les messes et blasphèment le sacrément du corps et du sang du Christ.
A l’époque, l’église, possédant une puissance démesurée, n’acceptait pas que l’on ne soit pas en accord avec ses doctrines. C’est pourquoi des répressions ont été organisées contre ces hérésies cathares.
L’hérésie devenait de plus en plus forte, dans certaines régions, les hérétique empêché les catholique de pratiquer leur religion. Certains allaient même jusqu'à détruire ou bruler des Eglises. Sentant le danger de l'hérésie se propager en France, le pape Innocent III demanda aux évêques de lutter contre l’hérésie et de sévir.
Pour lutter d’avantage contre cette hérésie cathare, en 1209, Le pape lance un appel à la croisade contre les albigeois dont de nombreux seigneur répondent à sont appel sous la conduite de Simon Montfort.
En 1229, l’inquisition est organisée, elle consiste à demandé à des évêques et laïcs de rechercher des hérétiques et de les dénoncer pour qu’ils reçoivent le châtiment qu’ils méritent.
En 1244, Les troupes royales assiègent la forteresse Cathare à Montségur et brûlent ses habitants.