Le catharisme

396 mots 2 pages
A partir du XIème siècle, L’Occident voit le catharisme se développer dans le Sud-ouest de la France. Pour l’église, il est une menace très importante. Pourquoi et comment l’église réprime-t-elle l’hérésie cathare ?
Tout d’abord, il ne faut pas oublier que le catharisme est associé avec la révolte générale qui sévissait dans toutes les provinces du Midi. Des plus, ces rebellions dans le Sud de la France avaient un caractère religieux et politique à la fois.
Les régions de l'Europe du Sud baignes près de la Méditerranée n'avaient pas gardé la foi catholique romaine. D’après L’église, Le midi de la France avait donc suivis de "fausses doctrines".
Pour l’église, le catharisme n’est pas bon car il engendre deux principes : un dieu bon et un dieu mauvais : Le diable (qui aurait crée les corps) et le Dieu, qui aurait crée les âmes. Et qu’il a renié le baptême, la prière, les messes et blasphèment le sacrément du corps et du sang du Christ.
A l’époque, l’église, possédant une puissance démesurée, n’acceptait pas que l’on ne soit pas en accord avec ses doctrines. C’est pourquoi des répressions ont été organisées contre ces hérésies cathares.

L’hérésie devenait de plus en plus forte, dans certaines régions, les hérétique empêché les catholique de pratiquer leur religion. Certains allaient même jusqu'à détruire ou bruler des Eglises. Sentant le danger de l'hérésie se propager en France, le pape Innocent III demanda aux évêques de lutter contre l’hérésie et de sévir.
Pour lutter d’avantage contre cette hérésie cathare, en 1209, Le pape lance un appel à la croisade contre les albigeois dont de nombreux seigneur répondent à sont appel sous la conduite de Simon Montfort.
En 1229, l’inquisition est organisée, elle consiste à demandé à des évêques et laïcs de rechercher des hérétiques et de les dénoncer pour qu’ils reçoivent le châtiment qu’ils méritent.
En 1244, Les troupes royales assiègent la forteresse Cathare à Montségur et brûlent ses habitants.

en relation

  • L’europe, entre restauration et révolutions 1814-1848
    509 mots | 3 pages
  • Les catholiques et le front populaire
    3576 mots | 15 pages
  • L'individu, devenu roi, est-il immanquablement égoïste ?
    988 mots | 4 pages
  • Michel et augustin
    4397 mots | 18 pages
  • Fortune des rougon
    437 mots | 2 pages
  • Graccus babeuf
    644 mots | 3 pages
  • Quinot - idiot
    423 mots | 2 pages
  • Le catharisme
    478 mots | 2 pages
  • La révolution est-elle antireligieuse ?
    1244 mots | 5 pages
  • Leonard de vinci
    874 mots | 4 pages
  • cathares
    2401 mots | 10 pages
  • Les cathares
    1780 mots | 8 pages
  • Bonjour tristesse
    611 mots | 3 pages
  • La vème république
    7299 mots | 30 pages
  • Lluvia
    2032 mots | 9 pages