Le commentaire composé du sonnet d’apollinaire, « le guetteur mélancolique (publication posthume en 1952).
Dans son poème, le poète nous fait d’abord part de son chagrin. Ici, on analysera le lyrisme du poète, puis l’on se penchera sur son état sentimental, et, enfin, on examinera le dédoublement introspectif qui se fait en la personne du poète. Ce poème frappe d’abord par me lyrisme qu’exprime le poète. En effet, dans ce texte, on peut clairement parler de lyrisme élégiaque. L’omniprésence du pronom personnel « je » (v.1 ; 3 ; 6 ; 8 ; 9 ; 10) tout au long du poème souligne avec exactitude l’intensité des états d’âmes du poète. Cela montre qu’il est seul dans son chagrin. De plus, l’anaphore de « Ô mon cœur » témoigne très bien de la volonté du poète d’insister sur ce lyrisme élégiaque, bien qu’il n’y ait pas de ponctuation. La figure de style est donc capable de remplacer la ponctuation. Enfin, on observe un champ lexical des sentiments et des