Le comte de fées

2677 mots 11 pages
Récits d’imagination, très anciens, ont en commun d’être une transposition symbolique d’un certain nombre de questions, d’une vision de la vie,... Transposition symbolique sans que les auteurs des mythes en aient conscience très précisément.
Le récit d’imagination sert de transcription plus ou moins consciente d’un contenu qui reste à interpréter.
Origine ancestrale du mythe, immense variété et fait que les mythes aient des versions différentes selon les continents, les époques, les civilisations.
Mêmes types de récit en différents points du globe dont les variations sont très nombreuses.
Comment se fait-il que les hommes imaginent partout les mêmes histoires?
Au départ on pensait que c’était une forme de pensée primitive, c’est l’hypothèse qui est remise en cause car en regardant de près les mythes on voit qu’il y a une forme de logique, et on se rend compte qu’il y avait beaucoup d’irrationalisme dans la pensée philosophique elle-même (pas attendu Nietzsche pour penser ça).
Quelle vérité les mythes délivrent-ils ? Jusqu’au IVème siècle, on a cru à la vérité de ces mythes, on croit à la nécessité de posséder un savoir concernant les légendes utiles dans la vie quotidienne. Rapport du mythe à la vérité nécessaire. Mythes remis en cause assez vite et on cessé d’être des articles de foi.
Quand on a cessé de penser que le mythe était allégorique, il a quand même gardé de l’importance, permet de connaître le passé. N’est plus un article de vérité, mais une source de savoir sur la société qui l’a produit.
Comment s’est constituée peu à peu une science des mythes ? De la Renaissance jusqu’au Lumières (18ème), on a considéré les mythes comme des fantaisies, créées par des âges ignorants, et étaient le «recueil des erreurs de l’esprit humain». Mythes étaient un répertoire d’images pour ceux qui voulaient se divertir.
Fin Lumières, début XIXème: approche historique, on collecte les mythes. On les analyse dans leurs ancrages locaux en les considérant comme

en relation

  • La publicité dans la mythologie
    1673 mots | 7 pages
  • Commentaire comparé : le laocoon et le serment des horaces
    1530 mots | 7 pages
  • Iconographie Mythologique chez les Grecs et les Romains
    5206 mots | 21 pages
  • irrigazette
    262 mots | 2 pages
  • Le héro, Campbell et Nietzsche
    4244 mots | 17 pages
  • Jean
    738 mots | 3 pages
  • Histoire de l'art
    990 mots | 4 pages
  • Peut-on penser seul?
    979 mots | 4 pages
  • Representation formele
    10791 mots | 44 pages
  • Les euménides
    3744 mots | 15 pages
  • Le mythe de dom juan
    2434 mots | 10 pages
  • François jacob le jeu des possible
    542 mots | 3 pages
  • Comment et pourquoi les mythes fascinent-ils encore aujourd'hui ?
    2413 mots | 10 pages
  • Mythe du bon sauvage
    1463 mots | 6 pages
  • Citations sur les mythes
    703 mots | 3 pages