Le déclin du « soft power » de la culture française et la réflexion du président de la France et des érudits

Résumé La France a été un des dominateurs de l’Europe et du monde dans l’époque du 17e à 19e siècle. Jusqu’aux années 40 et 50 du 20 siècle, la France était toujours l’un des centres de l’art et de la culture au monde. Cependant, depuis le milieu des années 70 du 20e siècle, le « soft power » culturel de la France est dans le déclin graduel. Cet essai analyse des manifestations du déclin du « soft power » de la culture française, et présente les réfexion du président Sarkozy et des érudits français sur les causes de ce décin et contre-mesures.

Le concept du « soft power » est premièrement proposé par un érudit américain, Joseph Nye, à la fin des années 80 du 20e siècle. Joseph a souligné : la force nationale globale d’un pays contient le pouvoir dur (Hard power) et la puissance douce (soft power). La première, qui inclut la puissance économique, la puissance militaire, la force technologique et la potentiel de ressources, peut être eployé pour mesurer les ressources « tangibles dur » ; pourtant, la deuxième comprend la force de guidage, d’attractivité, et de suivre l’exemple de la puissance, elle est une force idéologique d’assimilation, qui touchera l’orientation politique et tendances du développement d’autre pays. Cette capacité de conduire la volonté des autres est étroitement liée aux forces invisibles comme la culture, l’idéologie et les systèmes sociaux. Cette puissance douce, qui a une grande influence sur les autres afin que les autres pensent que vous pensez, fassent ce que vous voulez, atteind ses objectifs en attirant et en inspirant les gens plutôt qu’en menaçant. Comme la culture au sens large comprend la culture, l’art, des idées, des idéologies, des systèmes politiques et des modèles sociaux, ainsi nous pouvons considérer le « soft power » de Joseph Naye comme « soft power » culturel. Du concept de « soft power » de Joseph