Le magasin des suicides
Genre du livre : genre littéraire caractérise par une narration intriguante, extraordinaire, fictionnelle et amoureuse. Livre basé sur l’humour noir.
Il nous fait réfléchir à notre vie, aux sujets douloureux comme l’euthanasie.
L’histoire inventée dans un futur indéfinissable avec une télévision 3D dont on sent l’haleine des participants, des pluies acides (pg89), et un décor de la cité des Religions Oubliées.
Décor du magasin (une seule fenêtre, rien de rose, ni de gai) chap 1
Thèmes développés :
la mort et les suicides sont utilisés pour faire rire (chap 4 page 25 et chap 8 page41) l’amour Marilyn pour le gardien du cimetière chap 15 pages 70 et 71 et chap 22 pages 104 et 105 l’humour noir chap 12 page 60 et chap 13 page 63 et 64
Produits vendus :
Cordes, poisons, pistolets jetables, bonbons empoisonnés (pour les plus jeunes) et des produits issus de leur imagination (comme le kit Alan Turing ou le baiser empoisonné), des parpaings
Personnages principaux :
le père Mishima, commerçant, vend avec sa femme des produits pour se suicider. Il est d’humeur dépressive et n’est pas fou d’humour.
Vincent, fils aîné, solitaire, très dépressif er n’a que des idées créatives mais dépressives. Il est anorexique. Il a toujours la migraine et porte un bandeau de peau de Velpeau pour que son crâne n’explose pas (chap 2)
Alan, le petit dernier, est toujours joyeux, gai et a en lui une profonde joie de vivre. Il représente la joie de vivre, l’espoir et l’optimisme. Il est le grain de sable qui va enrayer la machine.
- La fille, Marilyn est une personne complexée par son corps, par sa tête, elle se trouve très moche.
Critique du livre
Le livre nous permet de concevoir ce qu’est la mort et donc l’importance de vivre.
Il nous donne l’envie de vivre et nous démontre ce qu’on raterait en se suicidant.
Le style est direct ainsi que le vocabulaire employé. L’auteur ne mâche pas ses mots. C’est un livre pour les amateurs d’humour noir et d’ironie.