Le système politique sous louis philipe.
L’évolution du système politique allait vers un roi qui ne gouvernait pas. Cette responsabilité politique, le premier ministre devait avoir le soutien de la chambre basse, alors il devait présenter sa démission. Le roi en contrepartie possédait le droit de dissolution. Les électeurs tranchaient le conflit politique soit en renvoyant les mêmes hommes et prendre un premier ministre qui avait le soutien de la chambre. Ou prendre des autres hommes. Séparation souple des pouvoirs
Le pouvoir exécutif (chef de gouvernement et chef d’Etat). Dans le modèle américain on trouve la séparation rigide des pouvoirs. Un pouvoir ne peut pas entrainer la démission de l’une et inversement. Il faut trouver des compromis de coexistence. Il ne faut pas être tenté par des coups de force.
Un modèle de la constitution qui a pu inspirer deux pensées contradictoires : Rousseau et Montesquieu.
La période de la terreur : séparation rigide des pouvoirs. Le directoire a vécu une prise d’influence par les conseils. Le Bonapartisme constitutionnel s’inscrit dans une vision pyramidale. L’autorité d’un seul, et la relation politique primordiale s’inscrit par voie de plébiscite. La période de la restauration – Louis XVIII sur le trône. Séparation des pouvoirs malgré l’autorité du roi. Régime parlementaire à l’anglaise. La chambre basse a été celle qui a engagé des ministres. La chambre basse mettait les bases du premier ministre. Un régime parlementaire qui se faisait avec l’adresse, les questions. Les possibilités de demander des enquêtes.
Monarchie nationale, Roi des Français. Une sorte de contrat entre louis Philipe et la chambre qui dans ce nouveau contrat demande des modifications du côté de la religion, du corps électoral. On avait un suffrage censitaire. Louis Philipe trouve un équilibre avec la chambre basse et a moins d’autorité avec la chambre haute. On est vers un parlementarisme. Il y a deux modèles de régimes parlementaires :