Le travail créé une valeur d'échange...... Avant d'être pensé comme une pure nécessité, le travail semble être ressenti comme une peine, une punition. Il évoque l'idée d'une activité pénible, à laquelle l'humanité semble devoir se résigner. Mais le travail transforme la nature de celui que travaille. Le travail n'éxistait pas avant : la nature fournissait directement à l(homme ce dont il avait besoin......Dans l'état de nature, l'homme peut rester oisif ,c'est à dire qu'il peut rester sans proffesion et inactif parce qu'il vit au millieux de forêts, sur un terre fertile et naturelle où les cultures sont possibles. Mais la pénurie de la nature rend le travail nécessaire.........Hegel nomme esclave l'individu qui a perdu le duel, qui est dépendant et qui doit travailler pour son maître mais il va progresser , modifier la nature et se libérer du besoin en mettant son travail au service d'un autre. En revanche le maître designe l'individu oisif et vainqueur du conflit. On peut aussi dire que le maître est l'esclave de son esclave car il est dépendant de son travail. L'homme, en même temps qu'il agit sur la nature extérieure et la modifie, modifie sa propre nature et développe des facultés. Le travail humain est une activité consciente car il est le fruit d'une volonté qui se fixe un but et qui mobilise une attention afin d'atteindre celui ci, l'intelligente car il implique des connaissances et un savoir faire , et libératrice car grace au travail l'homme se libére des contraintes de la nature. Ainsi c'est dans et par le travail que la nature humaine se réalise : formule d'Emmanuel Mounier : " tout travail travaille à faire un homme en même temps qu'une chose ". En effet , dans le travail l'homme extériorise son individualité et puisque l'objet de son travail porte sa marque et qu'il va convenir au besoin d'un autre homme. En quelque sorte l'homme éxiste a la fois pour lui même mais aussi pour les autres. .......La positivité du travail dans lequel l'homme se réalise se