Lecture analytique. En générale les femmes vont au couvent jusqu'a ce qu'elles soient mariés. Cécile est une jeune fille qui vient de quitter le couvent car sa mère veut la marier à 15ans. Elle ne connait pas son futur marie, c'est sa mère qui va le lui choisir. Elle est naïve et n'as aucun des codes de la société aristocratique du 18ème siècle d'où le quiproquo avec le cordonnier. Elle découvre la liberté. Elle s'occupe à la harpe, au dessin ainsi qu'a la lecture. Nous pouvons nous demander si Laclos, à travers son œuvre critique l'éducation des couvents ainsi que la société aristocratique. Après la préface qui annonçait une œuvre provocatrice, on se retrouve déconcerté après la 1ère lettre. Celle-ci est écrite par une jeune fille naïve (Cécile de Vollange) à une amie et semble tout a fait innocente. On y retrouve les règles convenants à une jeune fille de cette époque qui vient de quitter le couvent et qui se retrouve très vite sous l'autorité d'un homme en se mariant. Cependant on découvre que l'auteur à travers le portrait de Cécile construit une image critique de la société aristocratique.

Cécile est jeune fille qui vient de quitter le couvent où elle à reçut une éducation stricte. Bien que soumise aux codes de son époque et de sa classe: soumission a sa mère, heure des repas, heure programmés des rencontres, elle jouit tout de même d'une certaine liberté (l.15)"liberté" elle peut même avoir un coin secret avec "ce jolie secrétaire" (l.9-10). Elle semble attendre avec impatience l'arriver de son futur époux (l.26) "le monsieur tant attendu". Elle passe ainsi de stricte sujétion à une certaine autonomie, la fille à marier qui doit apprendre à se comporter dans le monde dans lequel elle doit entrer. En effet le couvent où elle vivait jusqu'a présent été un lieu fermé où les jeunes filles doivent rester jusqu'a leur mariage pour y être éduquer et apprendre leur devoir de femme. Elles y pratiquent