Prologue :

Dans le prologue de son œuvre ' les Identités meurtrières' Amin Maalouf veut nous montrer que notre identité ne se compartimente pas, qu'on ne peut en avoir plusieurs mais bien une seule, faite de tous le éléments qui l'on façonnée, selon un dosage particulier , qui n'est jamais le même d'une personne à l'autre.
L'auteur prend pour exemple un turc né à Francfort et qui a toujours vécu en Allemagne pour nous montré la difficulté infligée à ces personnes qui sont constamment. mise en demeure de choisir leur camp. Ceci à cause de chacun d'entre nous, de nos habitudes de pensée et d'expressions si ancrées. L'auteur s'assigne à la tâche de comprendre pourquoi les gens sont toujours poussés à réduire leur identité entière à une seule et propose d'éclaircir ce constat dans les chapitres à venir.

1. Mon Identité, Mes Appartenances

Dans la première partie “ Mon identité, Mes appartenances” Maalouf dit que l'identité c’est ce qui fait que personne n'est identique, qu'elle ne se limite pas aux éléments qui figurent sur les registres officiels et qu'elle se construit et se transforme tout au long de l’existence. Il nous fait comprendre que chacune de nos appartenances nous relie à un grand nombre de personnes; cependant, plus les appartenances qu’ont prend en compte sont nombreuses, plus notre identité s’avère spécifique. Parmi ces éléments qui constituent l’identité de chacun il y a une certaine hiérarchie qui change avec le temps et modifie les comportements. ces appartenances sont essentiellement l’influence d’autrui dont l'apprentissage commence dés l'enfance.

Malgré les points positifs de l'identité d'une personne Amin maalouf nous montre que la conception d’identité réduit les hommes dans une attitude intolérante, dominatrice et les transforme souvent en tueurs. Il finit la première partie par le statut de migrant qui est devenu “la victime première de la conception tribale de l’identité”.

2.Quand la Modernité vient de chez l’autre

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