Les regrets de du bellay
Dans le premier quatrain du sonnet n°108 , Du Bellay évoque son rôle de poète d’autrefois qu’il compare à celui de Pasquin. Grâce à un registre épique dans le dernier vers du quatrain : « Vu qu’ores par mes vers tant de monstres j’assomme », il met en avant ce qu’il pouvait faire d’utile avant. …afficher plus de contenu…
Il décrit son caractère belliqueux dans le premier tercet avec une assimilation aux « hommes de guerre » alors que les hommes d’Eglise sont censés privilégié la paix. Il dénonce aussi le fait qu’il tente de diriger le roi dans ses choix politiques (2ème quatrain).Sonnet 71 : Critique de Carlo Caraffa qui est associé à un soldat fanfaron (personnage type des pièces de Plaute). Il l’accuse d’hypocrite avec des termes tels que : « dissimulateur », « feindre », « flatteur » … Il le désigne d’avare, de faux religieux …. La critique se fait à l’aide d’un lexique dépréciatif.Sonnet n°79 : Du Bellay fait à la dernière ligne une critique de l’Eglise. Sonnet structuré et rythmé grâce à une anaphore en « Je n’écris de… » pour dénoncer ce qu’il manque. Dans la dernière ligne, il dénonce l’idiotie de l’Eglise en suivant ce