les âmes grises type roman
-> fond de 1ere GM
-> référence événements ; « veille du grand massacre »
-> guerre comparée à une boucherie
-> le roman balaye toute la guerre mais pas de façon chronologique ; changement de cadre spatio-temporel entre 2 chapitres
-> métaphore du début de la bataille de Verdun / mort de Clémence ; « la mort des étoiles »
-> métaphore « saigner a blanc » -> but des allemands pendant la bataille de Verdun
-> invalides de la guerre ; bruits de la guerre. Tabou sur la guerre puis habituation ( temps
+nombre). Distinction soldats/civils forte (il y avait comme 2 villes 2 mondes)
-> la description des combats est inexistante. Il n’y a pas de description d’offensives ou de massacres. Les Allemands n’ont aucune place dans l’œuvre de Claudel, c’est comme si l’ennemi n’existait pas.
=> La guerre fait toile de fond, c’est quelque chose d’irréel, un décor :
« au loin, la ligne de front se confondait avec celle du ciel, si bien que par moments, on aurait cru que de multiples soleils se levaient en même temps, puis retombaient dans un bruit de pétard avorté. La guerre déroulait son petit carnaval viril sur des kilomètres et de là où nous étions on aurait pu croire à un simulacre organisé dans un décor pour nains de cirque »
Roman policier ?
-> meurtre a résoudre : L’Affaire
-> Belle de Jour assassinée par strangulation ; « il y avait un assassin qui avait étranglé une fillette de 10 ans »
-> plusieurs suspects (Destinat, Riflon, Yann…) mais certains se suicident
-> Mierk insinue que c’est Riflon et Yann qui l’ont tué
-> Riflon avoue le meurtre de Belle de Jour, mais sa description ne correspond pas à la réalité des évènements. Suicide de Riblon.
-> le narrateur mène une enquête sur le meurtre de Belle de Jour. En effet il va tous les jours sur le lieu du crime (canal) pour fouiller et chercher des indices c’était toi le policier
-> description de la scène de crime
-> champ lexical du crime ; « crime », « victime », « assassin », « prison », « meurtre »,
«