Axe | Outils d’analyse | Relevé | Interprétation | II 1 | Pronoms et groupes nominaux | le vieillard, lui, le singulier client qui l’attendait, Le colonel Chabert, du personnage, Le vieux soldat, cet homme foudroyé, l’inconnu, Le vieillard, lepauvre homme | Le personnage est désigné par des termes péjoratifs qui évoquent la vieillesse, l’usure (la pauvreté), les malheurs. Le mot « foudroyé » est fort : il a reçu la foudre sur la tête. | II 2 | Champs lexicaux de l’ombre et de la lumière | dans le clair-obscur,les refletsbleuâtres chatoyaient à la lueur des bougies,L’ombrecachait si bien le corps, Les bords du chapeau qui couvrait le front du vieillardprojetaientun sillon noir sur le haut du visage. | La scène se passe la nuit : on le voit mal. La lumière n’est pas forte, pas homogène : il y a des ombres, on ne devine pas tout. Cela renforce son côté effrayant. | I 3 | Le découpage du texteles parties du texte | 1°) Son front, sous les cheveux, Ses yeux, Le visage, Le cou, cette vieille tête, Les bords du chapeau qui couvrait le front, le haut du visage, les rides blanches, dans le corps, dans le regard,2°) l’absence de tout mouvement dans le corps, de toute chaleur dans le regard, une certaine expression de démence triste, une douleur profonde, une misère3°) son crâne l’oeil droit | La description du personnage se fait en trois temps :1°) des lignes 10 à 22 : le portrait physique de Chabert. Le narrateur s’attarde surtout sur le visage.2°) des lignes 22 à 33 : le narrateur évoque l’impression que dégage le personnage, son caractère (le physique permet d’accéder au caractère)3°) des lignes 34 à 43 : la blessure au crâne, qui le rend effrayant, épouvantable | II 3III 1 | comparaison | Le colonel Chabert était aussi parfaitement immobile que peut l’être une figure en cire de ce cabinet de Curtius où Godeschal avait voulu mener ses camarades.comme les gouttes d’eau tombées du ciel sur un beau marbreressembler à ces fantaisies que les peintres s’amusent à