Macro
Chapitre 1 : ISLM
Modèle de John Hicks pour passer d’une logique keynésienne à une néo-classique.
Le modèle est flexible, c’est pour sa qu’il est encore utilisé.
IS : partit réel I : investissement S : épargne S : demande de monnaie M : offre de monnaie
On met en relation le taux d’intérêt réel (r) (différent de i : taux d’intérêt nominal) et le revenu (y).
Section 1 : représentation de l’équilibre keynésien
I) La fonction d’investissement
A) L’analyse de la relation entre I et r
I= f(r) I=I(r)
I’(r)= dI/dr c’est le taux marginal d’investissement
E(I/r)= (delta I/I)/(delta r/r) élasticité
II) L’analyse de la fonction d’investissement
A) La fonction affine
Y=ax+b
I= -br+I0 -br : b=delta I/delta r b>0 I0 : investissement autonome (réaliser en fonction d’une demande prévue)
III) Les équations de l’IS
C= cY+C0
I= -br+I0
Y= C+I
Og=Dg g : global
Y=cY+C0-br+IO
Y-cY=-br+C0+I0 (C0+I0 = demande autonome)
Y(1-c)=-br+CO+I0
Y=1/(1-c) *(-br+C0+I0)
K=1/(1-c)
Y= k(-br+C0+I0)
Y=-kbr+k(C0+I0)
r r2 r1 IS
0 Y1 Y2 Y
B) La variation de la courbe IS
Elle concerne les translations de la courbe IS vers la droite ou la gauche.
r r2 IS3 r1 IS1 IS2
0 Y1 Y2 Y
I0-> delta I0 Y augmente
C0-> delta C0+
G0-> quand G augmente translation vers le droit delta G0+ Y augmente G (dépenses publiques)
T0-> quand T augmente translation vers la gauche delta T0+ Y diminue T (impôt)
C) La forme de la courbe IS et les variables qui influence la courbe IS
La forme de la courbe IS signifie la pente de la courbe IS.
r
IS3 IS1 IS2
1 Y r=f(Y) Y=C+I
Y= cY+C0-br+I0
Y-cY=-br+C0+I0
Y(1-c)=-br+C0+I0
------ -CO-I0=-br