LECTURE ANALITYQUE N°25
Introduction : c’est en 1857 que Flaubert publie Madame Bovary. A la suite de cette publication le roman sera condamné pour outrage à la morale publique et aux bonnes mœurs car F. sera accusé de faire l’éloge de l’adultère mais il sera acquitté. Dans cette œuvre Flaubert met en scène une femme victime de la rupture entre le rêve et la réalité, qui ne vit que dans l’illusion et donc qui ne pourra jamais être heureuse. Madame Bovary incarne ce que l’on appellera le Bovarysme qui est de ce croire tel que l’on voudrait être et de rêver de bonheur illusoire qui nous sont inaccessible. Ns pouvons ns demander comment Flaubert exerce-t-il sn ironie vis-à-vis d’une certaine littérature ? Tout d’abord ns allons voir la lingère puis l’imagerie romanesque de ce passage et enfin la critique de Flaubert.
I) La lingère
Ce passage commence comme un conte « il y avait au couvent ». Cette lingère fait rêver les filles. Flaubert ns montre une vie manquée, de frustration. C’est une vielle fille avc une famille ruinée sous la révolution. Elle est tolérée au couvent en échange de certains travaux. Elle a de l’emprise et de l’influence sur les pensionnaires. Elle les fascine par la parole et par les récits qu’elle raconte. Elle est le seul contacte avc le monde extérieur ds l’univers clos du couvent. L’emploie du « vous » généralise l’expérience d’Emma .Le narrateur veut prendre le lecteur à témoin sur l’importance du perso. La lingerie devient le cadre d’une éducation parallèle où l’on apprend des chansons, des contes et des romans. Elle se fait en cachette une éducation avc tt un univers de secrets « en cachette ». La lingère évoque 1temps révolue celui de l’ancien régime avant la révolution donc par ses origines noble et sn destin malheureux elle rejoint les héroïnes romanesque. Tant ces poches sn pleine, elle distribue des romans. Elle est une sorte de mauvaise fée qui va inculquer à Emma une façon de compenser par le rêve, comme une frustration de