Manger moins de mais
Introduction (Romain)
Dans de nombreux pays (industrialisés ou pas), une quantité importante de maïs est cultivée. C’est une céréale originaire d’Amérique, qui s’utilise sous de très nombreuses formes. Avec le maïs nous pouvons faire entre autre de la farine et de la maïzena qui tout deux se trouvent dans nombre de plats et de desserts.
Le maïs fait partie de l’alimentation traditionnelle de base en Amérique ou en Asie, où il est cuisiné selon de nombreuses recettes. Par contre, le maïs est moins utilisé sous sa forme « naturelle » dans la cuisine européenne où il sert principalement à nourrir le bétail.
Néanmoins le maïs se trouve présent dans de multiples aliments, y compris ceux auxquels on s’attend le moins comme les sodas, les steaks hachés et même les biscuits. Mais faut-il continuer d’en produire autant, sachant que la cultivation de maïs intensive nuit a l'environnement et rend les terrains inexploitables ?
Les arguments pour :
Point n°1 (Romain)
De nos jours, la demande en maïs ne cesse d’augmenter. Cela entraîne l’apparition, dans divers pays d’Asie, de monoculture de maïs. Certains de ces pays ne pratiquent même pas la jachère (= laisser une terre en repos pour qu’elle puisse « refaire ces réserves de nutriments ») ou la rotation culturale, ce qui va fortement nuire aux sols.
Puisque le maïs nécessite beaucoup de nutriments, sa culture intensive va épuiser les sols jusqu’à les rendre inexploitables. Cependant, il existe des moyens pour éviter cela en pratiquant la jachère et en faisant des rotations de culture pour chaque parcelle. C’est-à-dire, cultiver après chaque récolte des céréales différentes sur le même terrain. Ainsi, la terre peut se reposer car toutes les céréales ne nécessitent pas les mêmes nutriments. La rotation des céréales cultivées sur un terrain a donc un effet positif sur l'activité biologique du sol et la nutrition des plantes. Mais malheureusement, ces pratiques ne sont pas