Mme bovary
Présentation de Catherine Leroux en train de recevoir une récompense aux comices agricole pour avoir passé plusieurs années à travailler dans la même ferme.
Structure : L1 – L10 : Portrait physique
• La description (vit) est faite d’un spectateur (on). La personne décrite est mise en évidence sur « l’estrade ». On voit que la femme a peur de monter. Cette mise en évidence justifie l’attitude de cette femme (maintient = attitude ; craintif = peur). « Petite (corps) vielle (age) femme (sexe) » détails naturalistes. Sa situation sociale est mise en évidence (pauvre vêtement). Dans cette première phrase (L1 – L2) on apprend son age, sa taille, son attitude et qu’elle a peur.
• Le portrait physique commence vers le bas (attire le regard ? Sur une estrade ?). On voit donc sa pauvreté de campagne, puis un contraste entre le tablier (grand ; symbole du travail) et sa taille (petite). Elle ne sait pas non plus changer pour la cérémonie.
• Ensuite il y a une insistance sur le côté desséché du personnage : maigre (année de labeur, pauvreté). Elle s’est habillée simplement avec un « béguin sans bordure » (pauvreté). Forte insistance sur l’age (plissé, flétri, ride) et la pauvreté : plissé (dû à la nature, au labeur, à la pauvreté). La comparaison à « une pomme de reinette la déshumanise et la compare à une chose (recherche de l’auteur) : visage flasque et ridé.
• Description des vêtements. Ces habits sont un assemblage de couleur. C’est une image de la pauvreté qui montre qu’elle n’a pas les moyens d’assortir les couleurs.
• Insistance sur les mains (symbole de la vie de travail) en donnant des détailles réalistes. Elles ont étaient déformées par le labeur. Le narrateur est plus omniscient, il donne des raisons qui peuvent être les causes de l’abîmement des mains. Il donne quelque nuance cependant pour montrer qu’elles semblaient sales, mais qu’elles ne l’étaient pas. Ces mains montre tout ce qu’elle à subit et donne une idée