Montesquieu, les tours de notre dame (chapitre 17)
» (par plaisanterie).▶L’image de Gargantua sur les tours peut être comprise de manière métaphorique. Gargantua en haut des tours de la cathédrale s’élève au niveau du divin – le lexique religieux est d’ailleurs très présent. Cet épisode donne dès lors l’image burlesque du Dieu qui juge et punit son peuple qui ne suit pas l’évangélisme.Les premières lignes inscrivent donc l’extrait dans le genre farcesque tout en amorçant la réflexion grâce à la satire. Le deuxième mouvement du texte se concentre sur le châtiment de Gargantua jouant le rôle de justicier.II. La vengeance de Gargantua (lignes 9 à 14)▶À la violence du harcèlement des curieux s’oppose le sourire du géant, ce qui atténue la cruauté du châtiment imposé : c’est par le rire que le géant se libère des oppresseurs.▶Cet épisode traduit le …afficher plus de contenu…
Les rescapés implorent des saints inconnus, telle « la sainte amie» ou profèrent des formules magiques chassant les démons : « abracadabri, abracadabra » Ce passage mêle donc plusieurs types de comique puisqu’au comique de situation s’associe le comique de caractères. Le dernier mouvement exploite quant à lui le comique de mots, le narrateur revendiquant une étymologie fantaisiste participant à la satire du peuple parisien.III. Revendication d’une étymologie fantaisiste (lignes 14 à la fin)▶À nouveau le récit laisse place au commentaire, le narrateur parsemant son explication de références fantaisistes. Ainsi, selon lui, le toponyme viendrait de la parole des fuyards « arrosés par ris ». Cette